Meridian Critic

Si la littérature peut être définie, selon les études récentes, comme lieu de l’altérité, ou tout simplement comme fiction de l’altérité, il n’est pas sans intérêt de mettre en évidence les rapports du roman avec l’institution de l’autrui, les figures de l’Autre, la réflection implicite sur le processus de la représentation, concernant l’invention, la «transcription» de l’altérité. Loin d’être épuisés, les thèmes littéraires qui sousentendent la relation entre la fiction et la compréhension de l’Autre conduisent vers une image toujours renouvelée du Sujet créateur en train de sortir de soi-même. Trancendance obligatoire et constitutive de l’acte de l’imagination.

Le présent article propose une approche sémiotique sur la typologie dans le roman Patul lui Procust de Camil Petrescu. La relation entre Fred Vasilescu et Ladima évoque deux model d’existence: Hamlet et Don Quijote. La rencontre avec l’Autre s'est fixé dans un espace narrative, suggérée par le titre de roman (Le lit de Procust), et aussi, dans un temps cœrcitif - une après-midi d'août. Ces limites sont amplifiées des quelques indecs semiotique qui soutient la semiose centrale: le lit d’Emilie, les lettres découvertes, l’icons qui anticipent la générale décrépitude. La typologie hamletiene, représente de Fred, se forme dans les fragments épiques, disséminées sur l'ensemble du territoire de recuperation d’une secrète histoire.

Stefan Aug. Doinas est un poète néoclassique avec un support philosophique, mais avec des antécédents avant-gardistes (cf. le cycle Les psaumes à la télé). À la différence d’autres «psalmistes», il se rapporte à plusieurs doctrines philosophiques et théologiques, certaines voire contradictoires, dès le néo-platonisme jusqu’à l’existentialisme, mais qui ont une obsession commune: décrypter l’Être divin. Le thème est le statut ontologique de l’homme comme créature parmi les autres créatures vs. Le statut ontologique de la Divinité comme Être absolu et absent du monde phénoménal créé, et pour ceci, difficilement accessible, même quand il s’hypostasie en Jésus. On arrive à une situation paradoxale: le «Rien» crée le monde phénoménal, y compris la créature humaine, et celle-ci provoque son Créateur par des actes cognitifs et par des actes créateurs. C’est ainsi qu’on obtient le salut esthétique du monde et de l’Homme.

La lectura Aleph representa, según nuestra opinión, el regreso al texto ya leído, con el propósito de comprobar las reacciones interpretativas de la primera lectura. No es simplemente una relectura que busque revivir la emoción estética de la primera lectura, sino que pretende corregir o convertir en certidumbres algunas de las intuiciones generadas por el primer contacto con el texto. La lectura Aleph es la necesidad de releer, es la búsqueda de un extraño (el autor presente detrás de sus personajes), que podría convertirse en el otro, instancia de la alteridad fundamental para el proceso de la comunicación. Infinita, circular, esencial, la lectura alephica disminuye el número de los libros leídos y aumenta el número de las lecturas de un mismo texto. El libro aléphico por excelencia es, para los cristianos, La Biblia, para los musulmanes, El Corán, y para Borges, El Quijote.